31 août 2007
sérénité océane
Bouche ouverte au silence inépuisable. Seul fracas : les montagnes dévalant leur à pic. J'avoue ma chair périssable,et ma langue déglutitle passé dénommé. De mon corps au paysage, toujours,l'espace désertique des mots. Il pleut à travers mes os. Jean...